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argile et photo

9 juillet 2015

Brodin Manolo. Né le 22 juillet 1954 à

P1090386     Brodin Manolo.   Né le 22 juillet 1954 à Normanville ( Eure )

 brodin.manolo@yahoo.fr

                                                     Moi, je n'ai pas une plume d'écrivain !

                   Résumé.

     Ils m'ont trahi, volé, persécute, harcelé, agressions physiques et matériels. Escroqueries en bandes organisées.  Abus de pouvoir et de faiblesse.   Tel est ce dont j'ai été victime de 1980 à 1999.  Ils disaient que j'étais artiste. Certains même me disaient en se foutant de ma gueule que j'étais l'ébéniste du roi. 

Trois millions de francs.  C'était le chiffre d'affaire que j'avais fait entre 1998 et 1999.  Si je devais tout compter dès la rencontre avec Céline Brière, c'est à dire, 1994 à 1999, cela représenterait 

                                                  -  JE VEUX RÉPARATIONS  -

    - Ils feront tout pour vous pourrir la vie pour que personne ne sache que vous êtes artiste ! Vous êtiez un homme de grandes valeurs, vous avez été victime d'ondes négatives ! Vous aviez beaucoup de personnalité, ils vous ont détruit par jalousie !  

     -  Suite à ce message anonyme que j'ai reçu en 2007, je lance un appel à la télévision et la maison des artistes à Paris.  Si j'ai créé ce site, c'est pour expliquer qui je suis et pourquoi j'ai tout perdu.

     J'ai exercé le métier d'ébéniste restaurateur de 1980 à 1999. Les deux dernières années, je m'étais inscris à la chambre des commerces pour mieux gagner ma vie. Je m'étais spécialisé dans le meuble rustique du 18ème siècles. Après toutes ces années, j'avais acquis un niveau professionnel à déranger les antiquaires les plus riches de la profession. Je n'oublierais jamais René Verdière antiquaire à Mesnil, à quelques kilomètres de Pacy sur Eure, qui me disait lors du déballage du Mans.

        -  Occupe donc toi de ton métier et laisse les antiquaires faire le leur !

  J'ai exercé mon métier sans être diplômé. En 2002, si j'ai fuit ma belle Normandie, c'est qu'on m'y a poussé. Je ne suis pas parti de moi-même. Cette Normandie me manque plus que tout au monde. J'ai été trahi par ma propre famille, hommes du milieu politique, paysans antiquaires et antiquaires très fortunés. Tous s'étaient mi en tête que Manolo Brodin deviendrais un jour leur propriété. Cela fait 15 ans que des personnes se vengent pour avoir échoué à leurs projets. Mon histoire en vérité, et du à un manque de communication et ce manque de communication leur a fait perdre beaucoup d'argent.               

    Concernant les ondes négatives, je crois savoir de quelles personnes faisait allusion le message. Je soupçonne José Luis et la mère de mon fils être à l'origine de ces ondes destructrices. 

           José Luis. Ostéopathe ?

    L'était-il vraiment ! Quand je suis arrivé rue des tanneurs à Pont Audemer, j'ai cherché un long moment avant de trouver son cabinet.  Aucune plaque ne figurait sur sa porte. Quand je raconte à des personnes ce que ce gars m'a fait, on me prend pour un malade. Et pourtant, ce que je dis et la vérité !  La première chose qu'il m'a demandé de faire, était de m'allonger sur une table, puis, son index droit pointé à une soixantaine de centimètres environ au dessus de mon ventre, il a expiré très fortement. Là, j'ai senti comme une sorte d'énergie très puissante me transpercer le ventre. Je croyais qu'il m'avait fait une piqûre mais non ! Ensuite, il a chuchoté des mots à voix basse dans mon oreille, puis m'a touché le nez en le caressant. Pour terminer, il a positionné ses deux mains derrière ma tête au niveau du cerveau. Par curiosité, je me suis retourné pour voir ce dont il faisait. Il avait les yeux fermés et la bouche grande ouverte. Quand il eu terminé, il m'a demandé de me lever très lentement. Là, j'ai senti de gros fourmillements dans le cerveau. Étonné par ses drôles de manipulations, je lui demande ou il avait fait ses études. Il me répond en chine puis rajoute.

        -   Ça marchera ou ça ne marchera pas !

      Que voulait-il dire par là !  Il m'expliquait que les humains utilisaient que 10% de leur pouvoir corporel et que pour aller au-delà, cela demandé beaucoup de travail. Sur le chemin du retour, je me demandais pourquoi sa plaque ne figurait pas sur sa porte. J'ai consulté trois fois ce gars et à la troisième, quand je lui ai demandé combien de fois fallait-il que je revienne, il m'a répondu.

       -   C'était pas la peine de venir trois fois, une seule suffisait !

   Que voulait-il dire encore par là ! Là, je me suis dit que l'on se foutait de ma gueule. Comme je n'avais pas d'argent pour le payer, Céline Brière me faisait un chèque et je l'a remboursée en espèce. Ce qui fait, rien ne prouve que j'ai consulté ce sois disant ostéopathe. Plusieurs mois se passent quand, en faisant un footing, des pertes de connaissances par fraction de secondes me stop net. Dans ma tête, ça claqué comme des court-circuits. Ce qui était très dangereux, c'est quand cela arrivé dans mon camion, quand je partais en week-end d'exposition. Très inquiet, je vais voir ce manipulateur bizarre pour lui demander ce qu'il m'avait fait. Face à ma colère il me répond. 

        -   Commencez-donc par régler vos histoires de famille !

   Mais quelle famille ! D'un côté comme de l'autre, elle m'a trahi ! Ou bien alors, elles étaient de connivence.  N'ayant pas prêté attention en mon inquiétude, je prend rendez-vous chez un médecin traitant pour passer un électroencéphalogramme. Le jour des résultats il me dit.

        -   Ce que l'on vous fait et très dangereux !  Parfois dans les campagnes on fait des choses !

    Je voulais plus d'explication mais il n'a pas voulu m'en dire d'avantage. Une fois de plus, je suis reparti avec dans la tête, des questions sans réponses. J'étais allé le voir pour un problème respiratoire dû à peut-être cela. Un soir en fin de repas, une poudre blanche dans le fond de mon verre attire mon intention. Là, je commence à comprendre que cette femme me droguait et que les problèmes respiratoires venait peut-être d'elle. Cette poudre était certainement un somnifère. Tous les soirs avant de s'endormir, elle me caressait le dos. Mais ce soir là, il me vient à l'idée de faire semblant de dormir, mais, en ronflant. Comme d'habitude, elle me caressait le dos. Tout à coup, elle appuie fortement avec le bout de son index au niveau de mon coeur. Comme je faisais semblant de dormir, je me retourne d'un coup sec et lui demande ce qu'elle me faisait. Je crois que cette femme, tout comme José Luis, pratiquait le magnétisme. Si je ne me trompe pas, alors je les accuse tous les deux m'avoir détruit. Quand j'ai rencontré cette femme, elle a fait sur moi, de nombreuses choses mais, à mon insu. Pour savoir ce qu'est le magnétisme, l'idée me vient de me renseigner sur internet. D'après les explications, un magnétiseur peut très bien anéantir son patient s'il lui envoie trop d'énergie. Tout en me documentant, je pensais à José Lui, ce qu'il m'avait envoyé dans mon ventre et le cerveau. Et bien-évidemment, la mère de mon fils. Je crois que ces deux là étaient de connivence. Un soir, nous roulions sur une route déserte de campagne quand soudain, je suis pris d'un malaise respiratoire. Après de nombreuses minutes à chercher ma respiration, je demande à la mère de mon fils de s'arrêter pour reprendre mes esprits. Ce jour là, je me suis demandé si cette femme avait vraiment de l'amour pour moi. Sans se préoccuper de moi, elle est restée bien gentiment dans sa voiture à me regarder souffrir.  Elle m'ignorait totalement. Même pas un geste de réconfort. Et puis il y a cet autre jour. Sur mon stand lors d'un week-end d'exposition, le même problème réapparaît à nouveau. Ce week-end là, contrairement aux autres, je décide de rentrer à la maison sans prévenir. La pendule affichée presque une heure du matin à mon arrivée. Je rentre dans la cuisine et là, je découvre un dictaphone sur la table. Par curiosité, je cherche à savoir ce qu'il contenait. Il y avait l'enregistrement de ma voix. Cette femme avait en sa possession de nombreuses photos de moi, prise de dos, puis ce dictaphone. Que faisait-elle vraiment ! Il a fallu que je découvre tout ça pour réaliser qu'elle me détruisait petit à petit. J'ai découvert tout cela environ un mois avant qu'elle et les siens me foute dehors. Il y a beaucoup de chose à raconter concernant cette pourriture de femme. 

         

         Celine Brière.

   Tu m'a barrée la route au profit de toute ta clic les paysans. Tous réunis étaient riche à milliard.

    Le jour de notre rencontre, si tu m'avais dit que tu étais catholique, je serais parti en courant. Il y a une chose qui t'as beaucoup intéressé en moi. Quand j'ai ouvert mon compte au guichet de la poste du Neubourg, ce jour là, j'y avais déposé une jolie somme d'argent. Ce qui a attiré ton attention, tout comme Bernard Boucher bien évidemment. Quand je t'ai rencontré sur le marché du Neubourg, ce n'est pas moi qui t'ai demandé de m'inviter chez toi. Je m'en souviens encore, c'est toi qui me l'a proposé. Comme j'étais célibataire, alors j'ai accepté. Tu me disais avant de me foutes dehors, que je m'étais précipité chez toi parce que j'étais à la rue. Je n'étais pas à la rue, je louais une chambre à l'orangerie, chez Bernard Boucher. 

     Autre chose. Quand ont habité dans ta maison du Neubourg, tu ne m'a jamais interdit de boire du vin à table. Quand on a acheté la maison à Magni, ce vin subitement est devenu gênant. Pourquoi ce changement soudain. En ce qui concerne ce vin qui tant te dérangeait, la première fois, quand tu es venue dans ma famille, tu te vantais qu'à table, tu buvais du vin à 3000 francs la bouteille quand vous étiez en famille. Alors ça, je veux bien te croire ! Avec tout l'argent que tu m'a volé ...!  Et à mon avis, y en a eu d'autre avant moi. Toujours concernant ce vin. J'avais un métier en or et je rentrais beaucoup d'argent. Et je peux même te dire que j'avais largement les moyens de me payer du très bon vin. Mais ça, me voir dépenser de l'argent dans du vin, ne te plaisais pas. Toi, tu m'aurais fait boire que de l'eau pour me voler encore plus d'argent. La cave que j'avais commencé à me faire était un Bordeaux - Château Yquem. A l'époque, la bouteille valait 58 francs. Aujourd'hui cette même bouteille vaux, 146 euros. En 2014, j'habitais à quelque kilomètres de Saint-Emillion. Je n'en revenais pas quand j'apprends que ce vin avec le temps, était devenu un très grand millésime. Dans ma cave, j'avais environ une centaine de bouteilles, plus, une, de bon calvados qu'une cliente m'avait donné. Je vais te dire Céline Brière, mon intuition me disait qu'un jour, tu me jetterais dehors. Alors je n'allais quand même pas en plus de la maison, me faire voler ma cave à vin, d'une valeur de 146 000 euros. C'est pourquoi, en même pas deux mois, j'ai liquidé toutes mes bouteilles plus le calvados afin que tu en hérites pas.  Moi et je le jure, je n'ai jamais été saoul de ma vie. Si tous les buveurs de vin buvaient comme moi, les vignobles feraient faillite. Si le fait à ce que je boives du vin ne te plaisais pas, alors pourquoi ne m'as tu pas quitté. Si tu ne m'a pas quitté, c'était pour la maison. Quand tu es venu me voir à mon atelier pour me proposer ton aide, ce jour là, c'était le maire Bernard Boucher qui t'avais envoyé. C'est grasse à lui si tu as ta maison. Il avait vu en Manolo Brodin, qu'il gagnait beaucoup d'argent.  Tu t'es servi de moi Céline Brière pour avoir cette maison à pas chers. A la signature chez le notaire, il était prévu que tu me jettes dehors dès ma côte part remboursée. Et c'est ce qui s'est réellement passé fin octobre, date à laquelle, après mes calculs, j'avais remboursé mon crédit, intérêt inclus. Et je peux même te dire, que cette maison, c'est moi et moi seul qui l'ai entièrement payé.  Autre chose.  Tu me disais que tu étais contre le travail au noir. Les poteries que tu vendais sur les vide-greniers, tu les déclarais. Et celles que tu as vendu à mes soeurs, tu les as déclaré. Quand on a un maire dans sa poche, ça aide dans la vie. Quand tu es venu avec Bernard Boucher dans mon atelier, ce jour là il m'a dit.

          -  Manu, si tu fais le con, c'est fini pour toi !

    Que voulait-il dire là ! Ça veut dire que tu m'as volé avec le maire et son copain Dieutre et son fils, plus de 3 millions de francs. Mais ça, c'était uniquement les deux dernières années de ma folle carrière d'ébéniste. Quand je me suis installé à l'atelier de Nagels-Sez-Mesnil, Je t'avais demandé de me faire des rideaux pour la décoration de mon magasin. Moi, je t'avais demandé uniquement de les faires, un point c'est tout. Quand tu es venue me les apporter, je t'ai dit au moment ou tu voulais les poser, de laisser tomber, que cela faisait parti de mon travail et non du tien. Je t'avais même dit.

         -  Si tu veux travailler avec moi, alors démissionne à la poste !

Quand j'ai fabriqué l'énorme bibliothèque à Vaucresson, la cliente en me payant me dit. 

         -  Avec tout l'argent que vous gagnez, pourquoi votre femme ne travaille pas avec vous !

Quand jen lui ai expliqué la raison pour laquelle elle ne voulait pas, elle m'a répondu.

         -  Votre femme ne vous aime pas ! Quand on aime, on ne regarde pas !   

Moi je me souviens, c'est bien toi qui m'ai proposé ton aide.  Si je raconte ça, c'est que j'ai de bonne raison. Quand je t'ai demandé de faire mes rideaux, tu as fait le travail le plus emmerdant et je t'es interdit de faire le plus intéressant. Ça, tu ne l'a pas digéré. Alors pour te venger, tu a repris les rideaux et il n'ont jamais été posé. Et bien tu vois Céline Brière, c'est dégradant quand quelqu'un fait la merde et un autre le plus intéressant. C'est exactement ce qu'a fait cet enculer de Christophe Dieutre avec moi. Il aurait fallu que moi, après vingt ans de métier, je redescende tout en bas de l'échelle. J'étais devenu un excellent ébéniste restaurateur et il aurait fallu après toutes ces années, que je passe du métier d'ébéniste à un simple menuisier. C'est comme ci on demandait à un grand pâtissier de devenir boulanger. 

   

        Christophe Dieutre. 

    Je vais te dire une chose espèce d'enculé, quand tu es venu me voir à la pose de la bibliothèque chez Aubrier, j'avais compris que ce n'était pas moi qui ferait les finitions.  Pourquoi madame Aubrier m'a t'elle refusée, un mois plus tard, de prendre en photo la bibliothèque. Je lui avais pourtant expliqué que c'était pour faire de la publicité. Je m'étais défoncé à mort presque deux mois, à dégauchir et raboter, des tonnes et des tonnes de plateaux de bois pour au final, me faire voler mon travail par un jaloux. A Acquigny dans le département de l'Eure, à côté de Louviers, cinq brocanteurs et antiquaires y étaient installé, donc toi. Tous me disaient de me méfier, que tu étais un grand jaloux. Tu rabaissais tes collègues parce que tu étais fils d'un politique. En faite, un fils à papa. Tu te souviens de ça espèce de pourriture. J'avais accroché à l'entrée de ma maison, mon panneau, ébéniste décorateur. Tu sais, derrière ce panneau publicitaire, il y avait le fruit de mon travail et j'avais beaucoup transpiré pour en arriver là. Et ce panneau, j'en étais très fier. Un midi, en passant au ralenti devant mon panneau, tu as pouffé de rire et fichu le camp à toute vitesse. En plus des crasses que tu me faisais espèce de salope, tu me narguais. Et ce jour là, je ne suis pas près de l'oublier. Je bricolais dans mon atelier dans lequel il ne restait plus que mon outillage portatif. Et ce, à cause de toi. Tu m'avais fait tout perdre. Un midi, tu me rends visite et de ma porte juste entrouverte, tu me dis. 

        -   T'es jaloux !

  Je vais te dire pourquoi tu es venu ce jour là. Tu venais ramasser les miettes après m'avoir détruit avec Bernard Boucher.  Mais ce jour là, quand tu as vu la tête que je faisais en me dirigeant vers toi, tu as vite refermé la porte et tu t'es sauvé en courant. Si tu es resté derrière la porte entrouverte, c'est que tu avais quelque chose à te reprocher. Ce jour là, en fuyant comme un voleur, tu m'as donné la preuve comme quoi tu me faisais des crasses. Pourquoi minable serais-je jaloux d'un type qui ne savait pas travailler !  Je vais te dire une chose et crois moi, il n'y a pas de quoi être fier.  Ton père me disait. 

        -  Tu sais mon fils, c'est un grand rêveur et heureusement que je suis là ! Sans moi, il ne serait rien du tout, il travaille avec mon fric !

   Quand il m'a sorti ça, j'ai aussitôt repensé aux antiquaires qui me disaient que tu étais jaloux. Toi, tu n'a jamais su ce qu'était un vrai antiquaire. Toi, tu n'a jamais transpirer pour gagner ta vie. Ce qui me faisait sourire, tu te disais antiquaire et dans ton magasin, on y trouvé des copies. Tu allais même les acheter dans la mayenne.  Mais Dieutre, ce n'est pas ça un antiquaire. Toi, tu es un espèce de brocanteur amélioré.  Et c'est même encore moins çà, quand je t'es surpris, cirant l'intérieur d'un meuble par-dessus la crasse. Il fallait faire vite pour gagner de l'argent. Moi je peux te dire que toi, tu m'arrivais à la cheville. Et c'est pour cela que tu étais jaloux de moi. Je vais t'expliquer Dieutre la raison ecxacte pour la quelle tu m'as détruit. Ton intention était de me faire fabriquer des bibliothèques et toi avec ta soeur, faire les finitions. Tu sais moi, j'avais un objectif dans la vie, exercer mon métier dans lequel j'étais très passionné. Tout comme toi avec le tient. Tout ce que je sais Dieutre, tu as volé le fruit de mon travail par jalousie. Tu as volé ma signature.  Tu étais près à tout pour soigner ton image, et je vais t'expliquer jusqu'ou tu es allé pour cela.  Après presque deux mois de travail intense sur le chantier que tu m'avais volé, j'étais très épuisé. L'idée me vient alors d'ambaucher un menuisier pour récupérer mes forces. Et pour cela, j'avais passé une annonce dans le journal. L'unique personne qui m'a appelle pour une parution de quinze jours, était mon ex-patron Michel Troc. A plusieurs reprises Dieutre, je t'es surpris en discutions avec lui.  Tous les deux étiez de conivence dans ce coup tordu.  Il se nommait Bonnafou, un jeune de 18 ans environ. Quand j'ai vu arriver ce gamin, son visage très marqué me faisait dire qu'il était en souffrance. Ce gamin en vérité, était manipulé. Tous les jours, il faisait que des erreurs sur mes meubles. Je lui rabachais sans cesse la même chose. J'ai fini par comprendre qu'il en faisait exprès pour me faire gueuler. Je vais te dire Dieutre, c'est toi qui me l'avait envoyé. Et c'est toi qui l'as commandité afin qu'il fasse des erreurs sur mes meubles. Quand je l'ai viré, c'est toi qui l'a récupéré. Je lui avais appris comment faire de belles finitions. Curieusement, comme par magie, ton magasin ne ressemblait plus à celui, d'avant Bonnafou. Tu me l'avais envoyé afin qu'il m'espionne. Ne compte pas sur moi enculer de Dieutre pour te faire de la publicité. Tu sais moi, je déteste le mensonge. Tout ce que j'écris et la vérité alors

                    Alerte à tous les chineurs aguerris.

   Si un jour vous passez du côté de Mesnil Enard, en banlieu Rouanaise, ou bien alors, à Acquigny, dans le département de l'Eure, méfiez-vous de cet antiquaire Chistophe Dieutre.  Ce gars est un voleur, un escroc.  Ce fils à papa de politicien se croit tout permis. Moi, il m'a tout fait perdre. Mon fils, ma maison, mon travail, et ce, au profit de son porte-feuille. J'étais aussi musicien. Dieutre, toi et les autres m'avez empécher de refaire de la musique quand j'ai quitté mon atelier de Heudreville sur Eure. Vous vous êtes acharné sur moi pour me voir à vos pieds. Vous me disiez.

         -  Tu nous fais chier avec ta musique, c'est pas là-dedans que tu vas t'enrichir.

Ou plutôt, vous enrichir. Dans le code pénal, cela signifie, atteinte à la vie d'autrui. Dieutre, toi, Michel Troc et Céline Brière, avez un point commun, le monde religieux. Les deux dernières expositions, c'est dans une abbaye que je les ai faite. A la deuxième, j'avais enfin réalisé que jamais je ne verrais le bout du tunnel. Cette dernière, un client me harcelait. Un moment donné, cela était allé trop loin. Il y avait un manque de respect envers l'exposant. Je me revois encore devant ce client à de doigts de me bousculer pour me faire baisser le prix. Cette personne m'a fait prendre conscience du monde dans lequel j'étais, qu'il fallait coûte que coûte je réagisse. Et c'est à partir de là que j'ai décider de mettre un terme au métier dans lequel j'étais très très passionné. 

   Quand je suis revenu de Bourgogne, j'ai reçu une convocation de la gendarmerie du Neubourg.  Je n'en revenais pas quand j'apprends qu'ils en avaient raz le bol de voir Céline Brière se plaindre à leur bureau comme quoi je l'a frappé, et cela durée depuis six mois. J'ai été victime d'un complot entre toi, le maire Bernard Boucher et Céline Brière. Quand je penses que celle-là m'a dit devant les trois gendarmes que l'on était pas fait pour vivre ensemble. Après cinq ans, il lui en a fallu du temps pour s'en apercevoir. Quand les gendarmes m'ont dit de partir, que je trouverais facilement du travail, c'était de toi enculer de Dieutre dont ils faisaient allusion. Tu croyais quand même pas que j'allais soigner ton image, toi mon ennemi. Mais en travaillant avec toi, j'aurais été dans l'ombre et tu aurais reçu tous les honneurs à ma place. J'ai travaillé pour toi sans le savoir. C'est pour ça qu'un brocanteur m'a dit que tu me faisait des coups tordus. Christophe Dieutre, pourquoi as tu fichu le camp d'Aquigny. Peut-être pour te faire oublier des crasse que tu m'as fait. Tu m'a détruit espèce d'enculer. Compte sur moi pour te faire de la publicité. Par curiosité, je suis allé voir sur internet ou tu étais installé. Tu as quitté Aquigny pour t'installer à Mesnil Enard à côté de Rouen. C'est peut-être grasse à moi, avec tout l'argent que tu as gagné sur mon dos. Tu sais moi, sur la bibliothèque à Aubrier, j'ai travaillé plus de quinze jour pour rien. Je l'avais fabriqué avec de petites machines destinées qu'à la restauration de meuble. 

     Pour revenir à toi Céline Brière, je te disais lors d'un repas que dans ma famille, il n'y avait jamais eu de solidarité avec moi, que je voulais un héritier pour ne pas qu'elle hérite au cas ou je venais à disparaître. Ça, ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Même pas un mois après, tu m'annonces être enceinte. Je vais te dire une chose, avant que tu ne tombes enceinte, il était très important pour moi, que l'ont s'entretienne concernant cet enfant. Faire un enfant, ce n'est pas comme quand on va acheter une baguette chez le boulanger. Tu m'a fait un gamin dans le dos Céline Brière. Tu as arrêté la pilule sans m'en avertir. Tu t'es fait un gamin pour toi et toi seul et pour le fric. Moi, c'est un enfant que je voulais et non un héritier. Comment peux tu me demander en plus des 3 millions de francs que tu m'a volé avec ta bande d'escroc, une pension alimentaire.

 

   En 2002,  après plusieurs agressions physique, j'ai quitté la Normandie pour une destination inconnu. En m'en allant, j'ai laissé derrière moi, Quentin, mon fils unique. Quand ils m'ont séparé de lui, il avait 5 ans.  Ne travaillant plus, l'idée me viens alors d'acheter de l'argile pour m'occuper l'esprit. Toutes les photos que vous découvrez sur mon site ne sont pas des sculptures mais, des empruntes sur argile. Mes toutes premières empruntes ont jaillies de mes mains, sur une table le long d'une rivière du sud. Il faisait très très chaud et cela m'a beaucoup arrangé pour leurs donner forme. Tout en modelant, je pensais à mon fils qui devait se demander pourquoi son papa n'était plus là.  Je n'oublierais jamais ce jour là.  Nous déjeunions dehors quand Quentin dit à sa mère.

       -  Mais maman, pourquoi tu cris toujours après mon papa, t'es pas gentille !

    Une phrase comme ça ne peut s'oublier bien évidemment. Pour marquer mon emprunte auprès de mon fils, je décide de lui offrir tout ce dont j'avais fait. Ce jour là sa mère était présente. Dans son regard, je voyais très bien que cela ne lui plaisait pas. Elle m'avait même demandée d'un ton agressif si c'était pour mon fils ou pour les vendre. Si je lui avais répondu pour les vendre, elle les aurait certainement vendu pour se faire du fric. Quand j'ai sorti de mon coffre toutes les figurines, elle est devenue très méchante. Quelque chose devait la déranger. Ce jour là, en offrant toutes mes figurines à mon fils, je savais qu'une fois parti, plus jamais je le reverrais. C'est pourquoi qu'il était très important pour moi de les lui offrir. Pour être honnête, c'est un peut grasse à elle si je me suis mi à l'argile. Elle était potière, catholique et travaillait à la poste.  

     Cette femme était très jalouse de moi.  Elle détestait que les clients me fassent des compliments sur mon travail. Un jour comme celui-là par exemple. La cliente très satisfaite lui dit.  

         C'est un sacré artiste Manolo, il a de l'or dans les mains !

Sa réponse m'en serre la gorge.

         - Ne lui dites jamais ça, il va avoir les chevilles qui vont gonfler !

La cliente lui répond.

         -  Vous savez, Manolo, si on le prend bien, on en fait ce que l'on veut ! 

 C'est surtout le on que j'ai retenu. En faite, cette femme m'a toujours rabaissé. Elle me disait souvent que je voulais la mettre plus bas que terre. C'était l'inverse. Moi, j'étais pas jaloux de ce qu'elle faisait. Pourquoi l'aurais-je été ! Ce qu'elle faisait n'avait rien d'extraordinaire.

    C'est en 2007, à Brives la gaillardes, en Corrèze, que j'ai créé pour la première fois mon adresse mail. Le message anonyme que je reçois cette année là disait que mon histoire avait commencé en 1991. Ce message était un message de dénonciation. Une personne a voulu dénoncer Bernard Boucher, maire de Bérengeville la Campagne, puisque 1991, c'est l'année quand je me suis installé dans son village. Six mois après, je rencontre une cliente sur un vide grenier.  Tout heureuse de me retrouver, elle me dit.

         -  Je te cherche depuis longtemps, qu'est-ce que tu deviens !

  Quand je lui ai dit le nom du village, elle m'a fortement conseillée de le quitter avant que de gros ennuis ne m'arrive, que le maire Bernard Boucher profitait un peu trop de son pouvoir, qu'il magouillait, qu'il se croyait tout permis. D'ailleurs, son ex-belle-soeur me disait elle aussi, qu'un jour celui-là, il allait lui arriver des ennuis.

     Comme je n'ai pas d'ordinateur pour écrire où pour visionner mes photos, je n'ai pas autre choix que de passer par les médiathèques. Cela est un gros problème pour moi. Comme j'ai beaucoup de photos, j'ai fini par découvrir un jour, que les plus belles disparaissaient. La dernière fois, je me trouvais à la bibliothèque de Trélazé, à côté d'Angers, là où j'habitais. Ce jour là, j'ai réellement découvert que l'on me volé vraiment des photos. Ce jour là, je me présente auprès de l'employé de bibliothèque et lui explique que l'on me volé des photos. Après m'être longuement expliqué avec lui, je lui demande s'il est possible de les faire réapparaître. Il me jure dure comme fer, qu'il ne pouvait rien faire que mes photos étaient irrécupérables, perdues. Je disparais en colère de la bibliothèque et une fois la porte franchie, je fais demi-tour et à nouveau, lui pose la même question.

           -  Êtes-vous sûr que l'on ne peut pas les récupérer !

           -  Elle sont perdues, on ne peut pas les récupérer !

Je me mets en colère et tout en m'en allant, je lui dis une dernière fois que quelqu'un avait volé mes photos.

          -  Les photos qu'on m'a volé sont des photos crées par un artiste !

  Dès demain lui dis-je, je vais déposer plainte auprès de la maison des artiste à Paris. Subitement, le gars pris de panique, me dis d'attendre et qu'il y avait peut-être une solution pour les récupérer. En l'espace de quelques minutes, mes photos disparues soudain réapparaissent. Comme c'était l'heure de fermeture, je n'ai pas pu vérifier si toutes avaient réapparues. Beaucoup avaient réapparue sauf les plus belles. Dans les médiathèques, les utilisateurs sont surveillés. Moi mes photos, c'était l'employé de la bibliothèque qui me les avait volé. Je soupçonne une personne avoir commandité l'employé de bibliothèque de supprimer mes photos pour les lui donner. L'année dernière, j'ai rencontré exactement le même problème à la bibliothèque de Castillon la Bataille.

     Comme mes photos ne son pas signées, un artiste très intéressé peut très bien s'en emparé. C'est la raison pour laquelle je fais appelle à la maison des artistes à Paris. Pour revenir à la mère de mon fils, avant que je quitte la Normandie, elle m'a bien fait comprendre que partout où j'allais aller, elle me pourrirait la vie. C'est ce qu'elle fait depuis 15 ans. Juste avant que je quitte la Normandie, le maire de Bérengeville la Campagne, Bernard Bouché, la faite embaucher à la préfecture d'Evreux. Par le biais d'une préfecture on peut tout savoir. On peut suivre faits et gestes d'une personne. En 2010 ou 2011 je ne sais plus vraiment, après avoir écris mon histoire, je suis allé la poster au service courrier de France Télévision à Paris. Je voulais passer à l’émission - Toute une histoire ! Si j'ai agit ainsi, c'est suite à de nombreuses menaces que l'on m'a fait. Je n'oublierais jamais celle-là par exemple.

       -  Lui, quand il ne peut pas blairer quelqu'un, il fait tout jusqu'à ce qu'il crève, il n'aime pas perdre.  Avec son fric, il obtient tout ce qu'il veut !

  Lui, c'était mon ex patron, Philipe Lehembre, un gars très dangereux. Je le qualifierais de gourou. Son associé Michel Troc me disait.

       - Lui, il a aucune pitié, il a une pierre à la place du cœur ! Avec lui, y a que le fric qui compte ! Il ferait crever pour empocher 100 francs !

Je confirme. Il me disait que Lehembre détestait les ouvriers, que ces gens là était de la merde. A ce propos, ce n'était pas moi qui était aller le chercher mais lui. Je faisais du stop pour me rendre à la maison de l'emploi, et ce jour là, il s'est arrêté et m'a proposé de travailler pour lui. 

 

             Philipe Lehembre.

    J'aimerais revenir à ça ! Nous discutions argent avec Michel Troc ton associé et ce jour là, j'étais contre ta façon de penser. Souviens toi, je t'avais répondu.

       -  Que l'on soit moche ou beau, avec l'argent, on peut s'offrir la femme la plus belle du monde, et même faire le mal !

  Moi, et je te le jure, j'avais dit ça sans arrière pensé. je ne faisais que dire la vérité. Tu t'étais certainement reconnu dans ce que je te disais. En tout cas moi, je n'ai toujours pas oublié ce jour là quand tu t'es levé en furie de ton fauteuil pour me frapper. J'ai dû me défendre avec énergie pour parer les coups que tu me portais. Je n'en revenais. Comment pouvais tu te permettre de tels violences envers ton ouvrier !  Aujourd'hui je confirme Lehembre, t'es vraiment pas beau et si tu as toujours eu de belles femmes c'est grasse à ton fric. Quand au mal, tu m'as toi-même donné la preuve en me frappant. J'aimerais aussi revenir à ça. Qui était cette cliente ! Elle s'appelait Brigite. Moi en tout cas, je t'accuse avoir voulu te débarrasser de moi par l'intermédiaire de cette fille au relations très pointues !  Tu t'es servi d'elle comme appât. C'est toi qui me l'a envoyé dans mon lit et je peux même de dire que tu l'as même commandité de façon à ce qu'elle se refuse à moi. C'est toi Lehembre qui lui a dit de me proposer ça. Le lendemain, elle me proposait de faire un voyage avec elle en Afrique, faire des ballades dans la jungle. C'est incroyable, je connaissais à peine cette fille et elle me proposait un voyage de rêve. C'est surtout la suite qui m'a fait réfléchir quand elle m'a dit.

      -  Pour le voyage, t'inquiètes pas pour les billets, mon ex-mari et le fils Dassaut !

Qu'as tu voulu faire Lehembre. Te souviens tu quand ta mère, un matin, est rentré très en colère dans ton magasin pour te dire.

      -   Arrête donc tes conneries, si tu continu, il va t'arriver de gros ennuis !

  Je dois t'avouer que j'ai été très surpris qu'elle se manifeste en ma présence. Voulait-elle m'envoyer un message ! Ça, certainement ! Que je devais me méfier de toi. D'après une cliente, toi et Troc étiez sous la surveillance de la police. Il ne faut pas toujours écouter ce que disent les gens mais après ce que tu m'a fait, j'ai fini par la croire.  

   Autre chose Lehembre. Tu m'a toujours appelé Manolette. Pourquoi ! Tu sais moi, contrairement à toi, je ne suis pas un P D, tout comme ton grand copain Jean Paul Legabilleux. Je n'oublierais jamais ce fameux dimanche lors d'un repas. Il y avait du beau monde autour de la table. Ta mère, ta sœur et ton beau-frère venus des états unis et bien d'autres personnes. Ce dimanche là, je voulais m'en aller. A deux reprises, tu m'as caressé la cuisse. Se faire expédier devant tout le monde. je crois que ta fierté ce jour là, en a pris un grand coup dans sa gueule. Devenir P D pour de l'argent, c'est salir son corps, se prostitué, c'est pas beau tout ça. Sache Lehembre que moi, je ne suis pas une pute et que même pour un milliard je ne me ferais pas enculer. Tu croyais peut-être m'attirer avec ton fric.  Dans le monde de l'antiquité on y trouve des P D à tous les coins de rue. Si j'avais été P D, je n'aurais jamais travaillé pour toi. J'aimerais revenir à ce samedi. Avec ton copain Jean Paul Legagilleux, vous m'aviez donné l'adresse d'une société à Caen, spécialisée dans les ciseaux à bois. J'étais même près à les payer de ma poche pour travailler convenablement. Ceux avec lesquels je travaillais, étaient en piteux états. D'ailleurs, tout comme le vieux camion que tu me prêtais Lehembre. Quand je suis arrivé à Caen, j'ai tourné un long moment en rond avant qu'un passant ne m'apprenne que cette société dont vous me parliez, n’existait pas et qu'elle n'avez jamais existé. A mon retour au magasin, vous étiez plié de rire. Je pense que cela vous a beaucoup amusé. Il y aussi cet autre jour et c'était un lundi. Toi et Troc reveniez d'un week-end de déballage. Ce jour là, Troc sort de sa poche une grosse liasse de billets et, tout en la collant à quelques centimètres de mes yeux, il +me dit. 

         -  Tu vois ça, voilà ce que tu gagneras quand tu travailleras plus. 

   Tu sais Philipe Lehembre, toi, tu n'a jamais su ce que c'était le travail et la façon dont tu gagnes ton argent et de loin en être un. Toi, tu es naît avec une cuillère en argent dans la bouche. Tu n'a jamais su ce que c'était que de transpirer pour gagner ta vie. Je vais t'expliquer pourquoi tu m'a embauché et pour quelle raison. Déjà, si tu m'a embauché, c'est grasse à Bernard Lesage un horloger que tu connais très bien. Il m'avait donné une caisse d'horloge à restaurer. Elle avait été raccourcie d'une trentaine de centimètres, donc, il me demandait de lui redonner sa hauteur initiale. Quand il a récupéré sa caisse, après avoir tourné plusieurs fois autour, il me dit  

         -  C'est incroyable, on dirait qu'elle n'a jamais été restaurée !

  Toi et Troc vous êtes intéressé à moi pour cela. Votre intention était de mettre dans un atelier pour vous fabriquer des meubles de contre-façons et pour ensuite les expédier en direction des états-unis. Quand je me suis rendu compte comment vous vous enrichissiez, je me suis dit que vous étiez tous les deux, des criminels. Dépouiller un meuble pour en revendre le meilleur et un véritable massacre. Et tout cela, pour de l'argent. Une très belle paire de porte par exemple, coûte plus chère que l'armoire tout entière à restaurer. Et après, les antiquaires se plaignent, qu'ils ne trouvent plus de marchandises. Maintenant pour en trouver, ils se retourne auprès d'artistes volontaires (  faussaires  ) pour leurs fabriquer des contre-façons. D'ailleurs, si Troc m'a conseillé le déballage du Mans, c'est que là-bas justement, on n'y trouve des tonnes et des tonnes de bois à la casse. Moi Lehembre, je suis contre l'injustice. Voler les gens n'a jamais été mon truc.

 

            Michel Troc 

  Je chinais sur un vide grenier quand tu me barre la route. En te foutant de ma gueule tu me dis.

       -  T"es un mec foutu, t'es trop susceptible ! 

   Comment toi tu réagirais si tous les jours je crevais les roues de ta voiture. Je crois que cela te mettrais en colère. Et de ce fait, je te dirais que tu es susceptible. Je suppose que tu vois très bien là ou je veux en venir. Tu sais Troc, si j'ai accepté à ce que tu m'héberges, c'est que je n'avais pas autre choix. Tous les jours pour aller dans ma chambre, j'étais obligé de passer par celle de ta fille Karine. Un soir, ta femme me proposait de prendre un café avec Karine avant de me coucher. Je voyais très bien là ou elle voulait en venir. Si j'avais concrétisé avec ta fille, cela aurait été de courte duré. Michel Troc, tu m'aurais donné la main de ta fille en échange des miennes. Tu étais de loin être perdant dans cette histoire. Avec toi, j'aurais roulé sur l'or certes, mais rien ne m'aurait appartenu. Par exemple, j'aurais roulé au volant de ta mercédes. Tu sais moi, les grosses voitures ne m'ont jamais attiré. Ce dont je suis certain, tu n'a jamais digéré que je m'en aille au même moment ou tu as acheté une maison pour m'y installer. C'est dans cette maison que tu avais l'intention de me faire fabriquer des meubles de contre-façons. Avant de quitter la Normandie, une personne m'a expliquée que tu revendais mes meubles de contre-façons  (  que je fabriquais par ignorance  ) à Marseille. Pour en revenir à mon appartement, Michel Troc, comment aurais-je pu en trouver un, tu me déclarais que 2800 francs sur une fiche de paie de 7000. J'étais coincé. Tu me bloquais parce ton intention était de m'installer dans une maison et dans laquelle tu aurais fait mon atelier. Tu savais très bien qu'en me déclarant peu, j'avais aucune chance de trouver un appartement. Je ne connais pas beaucoup de propriétaires qui accepteraient un locataire gagnant si peu. Un soir, à la fermeture du magasin, madame Mièl me conseillait de me méfier de toi et Lehembre, que vous étiez jaloux de moi, que j'étais un beau garçon et que j'avais un jolie sourire.  Quand on travaille plus, on a largement le temps de réfléchir. Je me suis souvent demandé pourquoi plus rien ne fonctionné dans ma vie. Avec les femmes, la musique et tout en générale. Tout cela venait de vous mes patrons. Et là, je m'adresserais principalement à toi Philipe Lehembre, qui avait qu'une idée en tête, que je deviennes ta propriété. Quand j'ai repris la musique avant de travailler chez toi, des musiciens étaient content de me retrouver. Si je m'étais investi à fond dans la musique et que cela aurait bien fonctionné, j'aurais certainement mi fin au métier d'ébéniste.

 

J'aimerais revenir à cette histoire et toi Lehembre, je te soupçonnes être le commanditaire de cette agression. De temps en temps le week-end, je jouais de la musique avec un groupe de jeune dans un bar à Louviers. Cela fonctionné même très bien, puisque lors de la fête de la musique à Evreux, nous avions eu beaucoup de succès. C'étais moi qui avais monté le groupe.  

 

   A mes soeurs.   Sophia, Anita, Rosita, Isabelle, Martine.

      Anita, tu m'a envoyée un commentaire il y a un certain temps déjà et tu me disais que cela faisait très longtemps que tu me cherchais et que je manquais beaucoup à toute la famille.  Cela fait 13 ans que j'ai quitté la Normandie. 13 ans, c'est très très long.  Si vous mes sœurs, êtes inquiétées pour votre frère, il y a une journaliste à la télévision qui fait des recherches concernant des personnes disparue. Je te garantie que cette journaliste incroyable est allée jusqu'en Amérique pour reconstituer des familles. Si je ne me trompe pas, cette émission se déroule sur la chaîne 17. Comme je disais, 13 ans, c'est très long. Quand un membre très chers de la famille disparaît, on se bat pour le retrouver. Je crois que ma disparition ne vous a pas trop dérangé.

     Anita, le jour de mon anniversaire, le 22 juillet, tu m'as envoyé un message sur mon long. Ce jour là, tu m'as dit que tu avais une pensée pour moi. Je crois que tu as oublié quelque chose.   

Avant de quitter la Normandie, je t'ai demandé à plusieurs reprises, ce que l'on m'avait fait. Avant de quitter la Normandie, je t'ai dit.

       -  Tant que je ne serais pas la vérité, vous n'aurez jamais de mes nouvelles ! 

 Anita, je n'oublierais jamais ce que tu m'a dit. Que tu trouverais une solution pour savoir ou je suis. Moi, je sais que vous avez toujours su ou j'étais.

Autre chose. Nous sommes en 2015, et 15 ans après, je te repose la même question.

       -  Anita.  Que faisait mon album photo chez la Annik !

Nous sommes le 26 Août 2015. Je te repose une toute dernière fois la question.

       -  Que faisait mon album photo chez la Annik et qu'est-ce que l'on m'a fait !

    Si je n'ai pas la réponse avant que maman s'en aille, je te jure que je vais bouger. Ne t'inquiète pas, je n'utiliserais pas la violence. Ce n'est pas comme ça que les histoires se règle. Dans ton dernier commentaire, j'en ai déduit que tu ne me dira jamais la vérité. Si tu reste muette, c'est qu'a mon avis, tu a quelque chose à te reprocher.

   Et puis Anita, qu'est-ce que Alexandre voulait-il dire par là quand il m'a dit que ta copine Annik avait donnée des conseils à la Céline pour faire des agissements sur moi. Tu me disais bien que ta copine avait un don exceptionnel. En cherchant mon album, le tombe par hasard sur plusieurs photos de moi, bien planquées dans le fond du buffet de la cuisine. Ce qui m'a très étonné dans cette découverte, toutes étaient prises de dos. Pourquoi de dos ! Franchement, tout cela n'est pas clair ! Cette découverte avait-elle un lien avec les agissements !

    Quand à toi Martine, je n'oublierais jamais ce jour là. J'étais dans ma chambre d'hôtel à Auxère quand la police m'appelle. Trois minutes plus tard, je reçois à nouveau un coup de fil. Mais cette fois-ci, c'était ton mari Lucin. Au téléphone, j'ai senti dans sa voix, une personne paniquée. Ce jour là, il m'a demandé de vite lui donner mon adresse, qu'il venait me chercher. Ce jour là, vous avez fait l'aller et retour Evreux - Auxère, environ 600 kilomètres, pour repartir à peine 3 minutes plus tard. 

       -  Martine, pourquoi faire tant de kilomètres pour repartir sans moi ! C'était bien le but de votre déplacement. Vous êtes reparti sans même me demander si j'allais bien !

  Ce déplacement précipité avait-il un lien avec mon livre de police . Le lendemain, j'ai eu l'agréable surprise en constatant qu'il n'était plus dans ma sacoche.  Pour faire autant de kilomètres, cela devait être très important. Ce livre à mon avis avait beaucoup de choses à raconter.  Autre chose Martine. Si elle existe toujours.  

        -  A qui appartient l'épicerie sous l'enseigne - Chez Manolo - pas très loin de chez toi !

  Tu sais Martine, avant, quand j'allais chez toi, j'étais bien accueilli. Puis avant de quitter la Normandie, quand j'allais te voir, tu n'étais plus du tout la même. Quand tu me recevais, je sentais en toi de l'inquiétude. D'ailleurs, je t'en ai même fait la remarque. Tu m'avais même répondu avec méchanceté que je racontais des conneries. Enfin, quelque chose de cette ordre.

        -  De quoi avait-tu peur Martine !

   Et puis Martine, te souviens-tu de ce dîner du dimanche. Ce jour là, il y avait la Céline Brière, ta mère, et plein d'autres personnes dont je ne me souvient plus. Avant que le repas ne commence, vous avez pas arrêté de me harceler. Ce jour là, j'ai senti que ma présence dérangé. Vous m'avez tellement harcelé que j'étais à deux doigts d'enfoncer ma fourchette dans la gueule de la pourriture de Céline Brière. Ce dimanche là, je m'en suis allé et à mon avis, c'est ce dont l'on chercher.  Je te pose la question Martine.

        -  Ce dimanche là,  pourquoi s'acharner sur moi ! 

   Tu avais peut-être des choses à mettre au point avec la Céline Brière et comme m'a présence dérangé, alors vous vous êtes acharné sur moi pour que je dégage. Te souviens tu aussi Martine de ça. J'étais à la rue. J'étais allé te voir et ce jour là, je ne suis pas près de l'oublier. Dès mon arrivé chez toi, ton mari est allé s'enfermer dans sa chambre. Il t'appelle et deux minutes après tu reviens pour me dire qu'il n'y avez pas de place pour moi, qu'il fallait que je m'en aille. Tu vois Martine, c'est ça la solidarité Brodin. Quand à Rosita, elle, la première fois, elle m'a carrément claqué la porte au nez. Quand je suis revenu de Bourgogne, j'étais allé la voir une seconde fois et ce jour là aussi je ne suis pas près de l'oublier. En me balançant une assiette de patte sur la table, elle me dit avec méchanceté.

         -  Tiens bouffe !

   Et puis Martine, il y a encore une chose dont j'aimerais te parler. Quand j'étais installé à Nagels-Sez-Mesnil, un représentant est passé me voir pour de la publicité.  Juste avant de s'en aller, il me donne un encart publicitaire dans lequel figuraient brocanteurs et antiquaires. J'ai été très très étonné en découvrant que Martine Brodin faisait partie de la liste et qu'elle était installée à Anet, en Eure et Loire. Qu'est-ce que je dois comprendre là-dedans. Pourquoi ces cacheteries. Y aurait-il derrière tout ça de la Céline Brière.

Moi, je n'oublierais jamais le jour quand tu m'a dit en sortant ton chéquier.

        -  Tu vois mon petit frère, je suis la seule de la famille qui t'auras aidé !

Mais Martine, ce n'est pas moi que tu a aidé ce jour là mais Céline Brière, t'as manipulatrice. 

 

        Lettre.

                               Bernard Boucher.

                             Maire de Bérengeville  la Campagne. Eure.

    Le premier jour que nous nous sommes rencontré, j'ai été très étonné que vous me tutoyez alors que nous nous connaissions pas. Je l'ai d'avantage été quand vous m'avez demandé en me serrant la main.  

        -  Etes-vous gitan !

Pourquoi cette question ! Ce que vous m'avez fait Bernard Boucher, vous ne l'aurez jamais fait à un gitan. Avant de vous engager, vous voulez savoir qui j'étais réellement. Moi, je n'oublierais jamais le jour quand vous êtes rentré dans mon atelier pour me menacer. Vous m'avez dit.

        -  Manu, si tu fait le con c'est fini pour toi !

   Tout ça en à peine trente secondes et vous êtes reparti. Bernard Boucher, vous auriez pu au moins vous expliquer.  Tout ce qui s'est passé dans votre village était prémédité. Dès même le premier jour, quand je me suis installé dans le bâtiment de votre frère Gérard. Souvenez-vous.  2500 francs, c'était le prix du loyer que je lui donnais pour un poulailler en piteuse état de 250 m². Il était pourtant écrit dans le bail que votre frère me ferait des travaux. Un an après, ils étaient toujours pas commencés.  Moi, c'est les travaux qui m'ont fait accepté ce loyer de 2500 francs. Croyez-moi, c'était très très chers. Pour être honnête, c'est surtout la passion qui m'a poussé à accepter. L'amour de mon métier que j'avais perdu.  Il devait me faire une dalle de béton, des toilettes et une petite porte côté rue.  Votre frère Gérard m'a trahi tout comme vous Bernard Boucher. J'ai travaillé trois années durant sur un sol de terre battu et infesté de trous. L'hiver, pour m'isoler du froid, des couvertures faisaient office de cloison. Nous sommes en 2015. Par curiosité j'ai cherché à savoir qui été le maire actuel de Bérengeville la Campagne. Si vous n'êtes plus maire depuis 2008 Bernard Boucher, j'espère que c'est suite aux crasses que tu m'a fait. Un jour ou l'autre on trouve son maître.  Et puis un jour, il me vient à l'idée de faire le calcul de tout ce que j'avais gagné les deux dernières années de ma carrière, c'est à dire, 1998 et 1999. Après calcul, je découvre avoir fait ( moi seul ) un chiffre d'affaire de,    1. 200 000 francs. Mais sachant que la plupart du temps je travaillais à perte, je considère alors avoir fait un chiffre de 3 000 000 de francs. Les règles du commerce dit bien, qu'il faut vendre trois fois son prix d'achat. Mais dans l'antiquité, cette règle et largement dépassée.

  Céline Brière, c'est toi Bernard Boucher qui me l'a envoyé, tout comme ta cousine. Mais avec elle, cela n'a pas fonctionné entre nous. Depuis longtemps déjà tu préparais ton coup. Trois ans après, quand j'ai rendu l'atelier poulailler à ton frère, c'est toi qui t'es occupé du déménagement de mes machines en destination de la maison à madame Magni que tu m'a fait acheter avec Céline Brière. Et là aussi l'achat de cette maison été prémédité dès la signature chez le notaire. Bernard Boucher, si tu m'a fait acheter cette maison, ce n'était pas pour moi mais, pour Céline Brière. Tu t'étais rendu compte que Manolo Brodin était capable de rentrer beaucoup d'argent, oui je dis bien, beaucoup d'argent, et en plus, il était très bon payeur. Souviens toi, je me suis installé dans ton village avec tout juste de quoi manger et mettre de l'essence dans ma voiture.  J'étais tout juste installé, qu'il me fallait déjà sortir plus de 15 500 francs de charges mensuelles, et ce, dès la première année. Cela représenté beaucoup d'argent. Les machines - 5500 francs.  Le loyer - 2500 francs. L'achat d'une nouvelle voiture, l'autre ayant rendu l'ame - 20 000 francs payable en quatre mensualités.  Installation électrique - 2500 francs. Si Manolo Brodin était capable de faire face à autant de charges, alors pourquoi ne le serait-il pas pour le crédit de la maison à madame Magni. C'est la réflexion que tu t'es fait Bernard Boucher. 

     5 ans après, Céline Brière me foutait dehors. C'est ce qui était prévu dès la signature chez le notaire bien évidemment. La preuve que cela était prévu. Elle a attendu que la cote part du crédit de ma maison soit remboursée pour me dégager, c'est à dire, fin 99, année à laquelle mon crédit prenait fin. Bernard Boucher, je n'oublierais jamais quand monsieur et madame Magni m'ont dit avant que je disparaisse de ton village que tu ne voulais pas que cette maison  ne m'appartienne parce que je n'étais pas paysan. Mais si je ne suis pas paysan, alors de quel monde mon fils Quentin appartient-il ! J'ai appris avant de quitter ton village que tu avais un fils. Il avait 7 ans quand il décède et d'après les échos, tu ne te remettais jamais de sa disparition. Je crois que mon fils Quentin t'as redonné goût à la vie. Ta cousine était la nourrisse de mon fils. Il te fallait tout simplement traverser la route pour lui rendre visite. 

     De quoi avais tu peur Bernard Boucher. Je rendais visite à Quentin et ce jour là dès que tu m'a vu, tu as fait aussitôt demi-tour.  Il est bien connu, quand on fuit les gens, c'est qu'on a quelque chose à se reprocher. Toi et Céline Brière vous êtes arrangé pour que je dégage de ton village. En disparaissant tu as récupéré mon fils. En clair, tu me l'as volé !   Je t'accuse avoir volé mon fils Bernard Boucher...!

    Quand je suis aller chez le notaire pour revendre ma côte part à Céline Brière, ce jour là, le notaire m'a expédié de façon très vulgaire. Je ne comprenais ce dont il me disait. Au moment de l'intérrompte il se lève en furie de son fauteuil et me dit.

        -  Vous taisez-vous, quand je vous adresserais la parole vous me répondrez !

  Qu'aurais-je pu répondre à une telle agression ! Environ deux mois avant de quitté Bérengeville la Campagne, le comptable et Céline Brière m'ont fait signer une feuille vierge. Je ne voulais pas. Quand je leurs ai dit que cela était malhonnête, le comptable m'a répondu.

        -  Si vous ne signez pas, vous allez avoir des ennuies avec le fisc !

   J'ai eu peur alors j'ai signé. Il est for possible que sur cette feuille vierge, ils ont fait une demande sous-tutelle. Si cela est le cas, il va faloir qu'un jour, l'on me dégage de cette merde. Concernant ma signature, Céline Brière savait très bien l'imiter. Elle me l'a même prouvé un soir en me disant.

        -  Tu vois t'as signature, elle est facile à imiter !

 

                2007. Année de la découverte. 

     C'est cette année là, à Brives la gaillarde que j'ai découvert en recevant un relevé de carrière, l'ampleur de la trahison. Dans mon relevé de carrière il y a écrit, cancava et activité régime général. J'ai été très surpris en découvrant qu'en 1998 je faisais parti de ces deux statuts. Si je comprend bien, en 1998, j'aurais été dans la même année, à la fois artisan et ouvrier. Puisse que, activité régime général signifie, l'ouvrier et cancava, l'artisan.  Les bras m'en tombent en découvrant qu'en 1999, je ne faisais plus parti du statut artisan. J'étais devenu ouvrier sans que je le sache. Probablement l'ouvrier de Bernard Bouché. C'est certainement pour cela qu'il m'a dit dans mon atelier - Manu, si tu fais le con, c'est fini pour moi ! Ce maire a plus que abusé de son pouvoir. Mais il n'était pas seul dans ce sale coup, il y avait Dieutre père et fils, un copain polititien et antiquaire. L'escroquerie là-dedans, c'est moi l'ouvrier qui payait toutes les charges à mon patron. Ce qui est incroyable, je croyais travailler avec mon argent et c'était avec celui de Bernard Bouché, le maire de mon village.

      Quand j'ai quitté Bérengeville la Campagne pour m'installé à Nagels-Sez-Ménil, à côté de Conche, j'étais ouvrier. On m'a même prêté 30 000 à 10% d'intérêt pour que Céline Brière récupère mon atelier de Bérengeville. En faite cette fille m'a tout volé, ma maison, mon atelier et bien sûr, mon fils. Ce qui s'est passé dans cet atelier de Nagels-Sez-Ménil et une escroquerie à grande échelle. Que s'est-il vraiment passé pour que jamais personne ne franchisse la porte de mon atelier magasin. J'y suis resté plus d'un an et rien y faisait. Pour attirer le client, j'y avais  implanté de chaque côté de la route, mes panneaux - Brocante-Ébéniste. Placé là ou ils étaient, ils se voyaient comme le nez en plein milieu du visage. J'avais un magasin agencé de très jolis meubles et largement à la hauteur de celui d'un antiquaire. Pour faire plus classe, je m'étais même fait faire des cartes de visite imprimées de lettres gothique de couleur or sur fond noir glacé. Elles étaient très belle et j'en étais très fier. A quoi cela à t-il servi, je ne voyais pas le moindre clients. Alors que s'est-il réellement passé. 

    Un matin, dès mon arrivée à l'atelier, il me vient à l'idée de faire le calcul de tous les meubles exposés dans mon magasin. Tous mes meubles que j'avais restaurés avec amour et passion. La somme que je découvre et incroyable. 330 000 francs. Mais si j'avais appliqué les prix antiquaires, cela aurait représenté plus du double et je ne raconte pas de conneries. Ce qui m'a poussé à faire le calcul de l'ensemble de mon magasin, c'est ça. Un matin, le directeur du crédit agricole et sa secrétaire me rendent visite. Ce jour là, ils me conseillaient de brader tout mes meubles. Ce jour là, j'ai pris conscience que l'on se foutait vraiment de ma gueule. Bien évidemment qu'il était hors de question pour moi, de brader mes meubles que j'avais, et je le répète, restaurés avec passion. Sans me rendre compte, mon magasin représenté une grosse fortune. Mais ce dont j'ignorais, cette fortune ne m'appartenait pas puis que je travaillais avec un argent autre que le mien, celui de Bernard Boucher certainement. 

 

              Céline Brière. Mère de mon fils.

    Qui était réellement cette fille. Elle était à l'arrêt à un feu tricolore quand un gars roulant à vive allure l'a percute par l'arrière.  Suite à cet accident, elle perd dix ans de sa vie. Quand à sa sœur, ce qui est arrivé à celle-là et incroyable. Le jour de son mariage, toutes les familles réunies sur le parvis de l'église attendaient le futur mari. Il ne s'est jamais présenté.  Lors d'un repas familiale, on me conseillait de me méfier de la famille Brière, que ces gens là était très bizarre.  Aujourd'hui 2015, je me pose toujours la question. Qui était réellement cette famille !

   Je disais que Céline Brière était jalouse de moi. La preuve que oui. Nous étions invité chez Rosita et ce jour là, dès la porte franchie, elle se dirige aussitôt vers le tableau que j'avais fait à partir de fils et de clous en laiton que j'avais donné à ma sœur. Tout en l'examinent, elle dit à Rosita.

        -  C'est très joli !  Qu'est-ce qui a fait ça !

  Quand ma sœur lui à répondu que c'était moi, elle n'a pas sorti un mot. Pas même le moindre compliment. Il y a beaucoup à dire sur cette mauvaise femme. Par exemple, lors d'un repas familiale chez ma sœur Sophia, elle se ventait qu'en famille, elle buvait du vin à plus de 3000 francs la bouteille. Moi à la maison, elle m'interdisait de boire du vin à table. Cette femme se disait-être contre ce monde de consommation dans lequel nous vivons. C'est incroyable, elle m'a fait acheter à un représentant, deux draps pour un montant de 3600 francs. Un pour elle et un pour moi. Cela s'appelle bien consommation. Ces deux draps sois-disant porteur de bien-être, ont terminé dans le fond d'un placard pour ne plus jamais en ressortir. Elle voulait me faire changer de comptable. Celui chez lequel elle m'avait envoyée, me demandait 15 500 francs pour une comptabilité minable. Mais quelle escroquerie ! Quand je partais en week-end d'exposition, elle me conseillait le soir de manger un casse-croûte et de dormir dans le camion plutôt qu'à l'hôtel.  C'est comme ça qu'on fait des économies me disait-elle. Ce jour là, j'avais enfin compris que cette fille faisait perdre mon temps. Elle était venue à mon atelier pour se proposer de m'aider. Derrière mon dos, elle aidait les gens très riche de son milieu à elle et moi, elle me faisait crever. Quand je l'ai rencontré, je suis tombé dans le piège de l'apparence. Je croyais qu'elle était pauvre mais c'était tout l'inverse.

   La première année de notre rencontre, elle m'a endetté de 100 000 francs. Pour rembourser cette dette qui n'en finissait pas, je me suis lancé dans la fabrication de bibliothèque.  Je n'avais pas autre choix que de passer par là pour rembourser a dette. Pendant de long mois, j'ai dégauchi et raboté des tonnes et des tonnes de plateaux de bois. Je me suis rendu esclave d'un travail qui, de jour en jour, me dégoutté.  Jours et nuits, je pensais à mes meubles anciens qui demandaient qu'à être restaurés. Cela était très dur à vivre quand je passais devant sans pouvoir y toucher.  Le soir, je rentrais complètement épuisé. Le matin quand je me levais, j'étais aussi crevé qu'au couché. Le midi, plutôt que de me faire à mangé dans l'atelier, comme elle me le conseillait, j'allais manger au restaurant. J'avais besoin de changer d'air, voir des gens, discuter. Me faire servir après une matinée très éprouvante me faisait un bien fou. Un soir, elle me conseillait plutôt que manger au restaurant, de manger un casse-croûte à l'atelier et le soir, faire bouché double. C'est incroyable, elle me conseillait l'inverse de ce qu'il fallait faire. Il aurait fallu que je reprenne des forces dans un casse-croûte.

    Avant de me foutre dehors, elle me reprochait être un mauvais père, que je ne mettais jamais levé la nuit pour donner le biberon à mon fils et lui changé ses couches. Comment pouvait-elle me faire un tel reproche ! Il aurait fallu que je me lève la nuit alors que elle, elle travaillait à mi-temps. 6 heures par jour et parfois moins. Chaque fois que mon fils lui parlait de moi, elle s'en allait. Quand elle m'a annoncé qu'elle était enceinte, j'ai cru que mon fils était mort avant de naître. J'avais devant moi un frigo. Tête baissée, elle s'en est allé directe dans la cuisine. Tout au long de sa grossesse, elle n'a pas cessé être méchante avec moi. Je voyais très bien là ou elle voulait en venir. J'avais compris qu'un jour, elle me jetterait dehors. Plus le temps passait plus j’appréhendais le jour de son accouchement. Le jour j, je me suis rendu à la clinique avec amertume et demi-assiste à la naissance de mon fils. Ce jour là, dès la naissance de mon fils, je suis sorti dans le couloir pour pleurer. J'avais donné à une femme monstrueuse, ce qui il avait de plus beau, un enfant. 

 

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Depuis 2009, dès qu'il fait beau, je prend mon vélo et je parcours la France.  Cette année 2015, pendant mon voyage, je donne mon adresse blog à de nombreuses personnes.  Chaque fois que consulte mon cite, je n'ai jamais de commentaire.  Pourtant, toutes ces personnes, après leur avoir expliqué mon problème, me promettent m'envoyer un commentaire. Plusieurs personnes m'ont expliqués lors de mon voyage que l'on me bloqué.  Quand à mon adresse mail, je rencontre exactement le même problème.  Aucun messages ne me parvient. Que se passe t-il vraiment ?  J'aimerais que l'on m'explique d'ou vient ce problème.

 

        J'ai risqué, j'ai tout perdu !   

    

     Mon histoire a commencé en 1980 quand un beau-frère au nom de Roland Rochet, m'a proposé de travailler avec lui. Si j'ai accepté, c'est pour plusieurs raisons. Ce gars là été un sacré artiste. Ma soeur Rosita m'avait pourtant conseillé de ne pas travailler avec lui au risque de gros ennuis. Ce beau-frère et moi avions un point commun, être doué de nos mains. Quand ma soeur Anita a fait sa connaissance, j'avais 10 ans environ. Ce gars au main d'or était en réalité, un escroc de grand envergure. La prison, c'était son truc. Il lui arrivait même parfois d'y retourner alors qu'il venait d'en sortir.  Dans la famille, quand on a appris qu' Anita voulait faire sa vie avec ce gars, cela a été un véritable choc. Surtout du côté de ma mère qui elle, était une femme très honnête. Voir sa fille devenir la femme d'un escroc, elle en a en terriblement souffert.  Ces larmes n'ont rien changé face à sa fille prise d'un amour fou, pour cet homme à la carrure très impréssionnante. Quand il a introduit la famille, ce fut pour moi une grande déception. Ce gars allait remplacé mon regrété frère disparut lors d'un accident de chasse.  

Les mauvais qui font souffrir les gentils, me révolte.  Ce fut le cas d'Anita. Il est bien connu, l'amour rend aveugle. Quand ce beau-frère a introduit la famille Brodin, cela a été la chance de sa vie. Une mère seule avec six enfants, il ne pouvait pas mieux tomber. Cela à été très difficile pour moi de vivre au côté de cet homme de mauvaise foi. Il voulait toujours avoir raison alors qu' il avait tord. Moi qui déteste l'injustice, cela était très dure à vivre.

 C'est en Charente, en travaillant pour un antiquaire que Roland Rochet a appris le métier d'ébéniste. Après deux ans passés dans le sud-oeust avec sa femme et ses deux filles, il remonte en Normandie. Ce beau-frère avait de bonnes raisons de m'enseigner la fabrication de meuble. Quand il était en prison, je reproduisais à la perfection les dessins qu'il envoyait à Anita. C'est de là que mon histoire a réellement commencé. L'intention de ce beau-frère était en réalité de me faire fabriquer des contre-façons pour ensuite, les revendre aux antiquaires. Notre tout premier atelier était un blaoukaus. Devenu trop vite trop petit, nous changeons d'atelier pour un autre d'une supperficie de 500 m² couvert. C'est grasse à moi si nous avons pu l'obtenir.

    Trahison. 

     Ce dont j'ignorais, un autre beau-frère au nom de Jean Baron s'était joint à nous sans que je le sache. L'idée de mettre l'atelier à mon nom ne venait pas de Rochet mais de Baron. Dès le début, cet autre beau-frère voulait travailler avec nous mais il était hors de question pour moi que ce sale type s'incruste. 

Nous étions en repas de famille et ce jour là il me dit.  

   -  Pour réussir dans la vie, faut être pourri et sans pitié ! Si t'es trop gentil, t'es foutu ! 

La façon dont ce vantard de Baron m'a sorti ça, m'en a redressé les poils.  Un autre jour il me dit.

   -  Je me documente dans le code pénal pour savoir comment tricher sans se faire gauler.

Et il r'ajoute en me riant au nez.

Et si j'ai un problème, un copain commissaire priseur peut me conseiller ! Je le connais très bien, à l'école, on était dans la même classe !

     Cet autre beau-frère a vécu 20 ans avec ma soeur Sophia. Il ne l'a jamais aimé. Il est resté avec elle juste le temps de payer le crédit de leur maison. Un mois après la fin du crédit, il l'a largue après lui avoir collé un gros paquet de dette sur le dos. Il avait mi à son nom une agence de location de voiture.  Sophia sombre dans la dépression et se noie dans l'acool pour oublier. Sophia et moi avons pour ainsi dire vécu la même histoire. Ont s'est servi de nous pour la création d'une société.

 

 

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